Accueil Non classé Nucléaire. Les nouvelles malfaçons évoquées peuvent-elles retarder encore l’EPR de Flamanville ?

Nucléaire. Les nouvelles malfaçons évoquées peuvent-elles retarder encore l’EPR de Flamanville ?

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La spirale infernale du mensonge !

Si le remplacement du fond de la cuve n’est plus jugé nécessaire (c’est surtout qu’il est impossible de changer le fond sans casser toute la structure … encore une fois on triche) , celui du couvercle devra bien être réalisé, et ce dès le premier arrêt du réacteur, environ 18 mois après sa mise en service, et non après dix ans de fonctionnement comme le demandait EDF.

Couvercle, soupapes, cuve…

Le dossier de l’ASN rappelle par ailleurs que d’autres anomalies devront être corrigées, sans fixer de dates : le remplacement de soupapes de protection sur les circuits secondaires et d’échangeurs sur des circuits de refroidissement.

Autre point, qui semble techniquement plus complexe : des modifications à apporter sur la géométrie de la cuve du réacteur. En effet, comme cela a été observé sur les EPR de Taishan (Chine), son défaut de conception provoque des turbulences qui abîment les assemblages de combustibles, provoquant des cassures dans les gaines de combustible et donc des fuites radioactives dans le circuit primaire. La réponse actuelle d’EDF et de son fournisseur, Orano, est de renforcer ces assemblages pour les rendre plus résistants.

Autant d’éléments qui ont déjà abouti à une explosion du coût de l’EPR non encore précisément chiffrée. Si son coût de construction est désormais estimé à 13 milliards (soit quatre fois le montant initial), ce montant ne comprend pas les frais financiers (les emprunts) dont le coût continue de s’alourdir alors qu’il était estimé à 6,7 milliards par la Cour des Comptes à l’époque où l’EPR devait entrer en service mi-2023.

pasdeclimatsanseau

Laurent DENISE : formations et expériences professionnelles en : hydrologie, climatologie, météorologie, agriculture, permaculture, agroforesterie, sol vivant les accords de Paris n'ont dangereusement pas pris en compte le principal Gaz à Effet de Serre qui est la vapeur d'eau (60% des effets source GIEC, contre 26% pour le CO2). L'eau de l’atmosphère régule les températures des continents depuis des millions d'années mais cette hypothèse a été écartée dès le début en pensant que les activités humaines n'avaient pas d'impact sur l'eau , or il est maintenant prouvé que la disparition de la couverture végétale des continents (déforestation) coupe le cycle de l'eau et provoque les phénomènes climatiques actuels : inondations, sécheresses, canicules et feux ! Albert Einstein disait : « On ne résout pas un problème avec les modes de pensée qui l’ont engendré. » , autrement dit "ne comptez pas sur les écologistes pour régler les problèmes qu'ils ont eux-mêmes générés (climat eau et biodiversité)! Les sécheresses et les inondations ne sont pas des fatalités liées au dérèglement climatique mais le résultat logique d'une très mauvaise gestion des eaux de surface, Inondation c’est quand l’eau repart trop vite vers la mer, sécheresse c’est quand elle est repartie trop vite … Sur les continents, la régulation thermique de l'atmosphère est automatique tant que les surfaces exposées au soleil sont couvertes d'eau ou de végétation, autrement dit : c'est la sécheresse des sols qui provoquent le dérèglement climatique et non pas le dérèglement climatique qui provoque les sécheresses, le climat se dérègle quand les continents ne transpirent plus l'été ! Ce qui tue massivement toute la biodiversité de façon durable ce sont les sécheresses de plus en plus longues : pas d'eau pas de vie ! Les sécheresses de plus en plus longues ont des conséquences monstrueuses qui entraînent l’effondrement accéléré des pollinisateurs, des insectes, des oiseaux, impactent l’ensemble du vivant, y compris la santé humaine ! 1.1 millions d'hectares de prairies en Nouvelle Aquitaine avec des haies et des arbres, sans labour et sans pesticide pourtant tous les étés ce sont des cimetières de biodiversité, même les vieux arbres sèchent ...Une sécheresse c'est juste un manque d'eau l'été, un comble quand on a passé l'hiver les pieds dans l'eau (inondations) sans faire de réserve ...En France ce sont uniquement les "écologistes" qui s'opposent à la construction de réserves d'eau et qui vont même jusqu'à en faire détruire ... cherchez l'erreur ! C'est le climat qui a besoin d'eau et de végétation l'été. Le secret d'un bassin hydrologique en bonne santé c'est sa densité végétale l'été (la référence étant la forêt de feuillus), plus on génère de biomasse plus on augmente le pouvoir de rétention d'eau des sols et donc de filtration, plus la densité végétale est importante et plus on alimente le cycle des pluies.

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