Nicolas Sarkozy tenait à être le premier chef d’Etat étranger à se rendre au Japon. Trois semaines après le séisme puis le tsunami qui ont frappé la péninsule nippone, le président français a profité d’un séminaire du G20 en Chine pour effectuer une visite de quelques heures à Tokyo.
« Nous avons pris des engagements de réduction des gaz à effet de serre. Pour les remplir il n’y a pas 150 solutions, il y a le nucléaire, insiste Sarkozy. L’heure n’est pas aux choix précipités qui ne marquent qu’une seule chose, le manque de sang-froid »
Si l’argument du carbone tombe c’est toute la filière nucléaire qui tombe …