L’énergie du futur c’est la photosynthèse, elle existe depuis des millions d’années et elle entretient tous les cycles du vivant, une surface qui ne fait pas de photosynthèse agit comme un désert sur le climat et la biodiversité !
La biodiversité à la configuration d’un iceberg : la partie invisible et 10 fois plus importante que la partie visible ! La partie visible de la biodiversité (faunes et flores, et donc aussi les humains) dépend à 100% de la partie invisible qui se cache dans les sols : des millions de micro-organismes qui commencent par les bactéries. Il faut considérer les sols comme une entité vivante globale qui est à la base de toutes les chaines alimentaires, la partie visible de la biodiversité nous sert de bio-indicateur, quand les bio-indicateurs disparaissent c’est que les sols meurent ! Un sol vivant a besoin d’eau, de nourriture, d’oxygène, d’un climat tempéré et d’une protection solaire, tout ceci lui est apporté par la végétation ! Plus la densité végétale est importante plus la biodiversité est riche, la référence planétaire étant la forêt de feuillus, en opposition total au désert (donc sans végétation) et donc aux villes. La première des choses à faire pour le climat et la biodiversité c’est la végétalisation massive des surfaces exposées au soleil au rythme des forêts de feuillus : donc vert l’été ! L’énergie du futur existe depuis des millions d’années et s’appelle photosynthèse : énergie du vivant ! Plus la densité végétale est importante moins il y a de concurrence sur l’eau puisque c’est la végétation qui alimente le cycle, comme dans les forêts équatoriales, qu’on appelle aussi l’enfer vert, ou il pleut tous les jours !
Couper l’eau dans les champs pour alimenter des villes hors normes ce n’est pas de la résilience mais une désertification massive et une mise en danger de la population.