l’été dernier le ministre de l’agriculture nous promettait la création de 60 réserves collinaires :
Ou sont elles ? la seule connue et en eau actuellement c’est celle de Caussade mais les agriculteurs (de la CR) ont du se battre pour qu’elle ne soit pas vidées et détruites par la préfecture … ou sont les autres ??
la sécheresse commencera dans deux mois, celle de 2020 sera pire que 2019 qui était pire que 2018 et c’est comme ça depuis 20 ans en Nouvelle Aquitaine parce que les préfectures et le président de région (sous la pression des « écologistes ») font détruire les réserves quand il faudrait en construire :
https://www.youtube.com/watch?v=WyGvleAyMiY
En 2002, Chirac disait « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » … depuis, tous les ministres de l’écologie (qui se succèdent rapidement …) ont amplifié le dérèglement climatique par dogmatisme et fondamentalisme écologique !
Quand la maison brule on arrose mais si on avait arrosé avant qu’elle ne brule on n’en serait pas là !
Les agences de l’eau (encore une fois avec la bénédiction des « écologistes ») ont planifié et orchestré les pénuries d’eau : Actuellement les rivières françaises rejettent plus de 70% des précipitations alors que 70% des précipitations devraient être consacrées à la végétalisation, ce qui provoque des inondations, un assèchement mathématique des bassins et des canicules puisque la végétation n’aura pas suffisamment d’eau pour entretenir le cycle et évacuer la chaleur.
couper l’irrigation l’été, casser les barrages, bloquer la construction de réserve et ne pas recycler l’eau des villes, techniquement il était impossible de faire pire pour détruire la planète … il est donc très facile de faire mieux !
Concrètement il faut de tout urgence reconstruire les ouvrages détruits depuis 20 ans et en construire d’autres : pour compenser les prélèvements dans les nappes phréatiques (et donc ne pas épuiser les nappes l’été) chaque bassin versant doit avoir un volume d’eau de surface équivalent à la consommation humaine (potable, industrie et nucléaire) plus le volume d’eau nécessaire à la végétalisation des surfaces l’été (villes et campagnes) c’est à dire 2000m3 à l’hectare ou 4000m3 à l’hectare pour le maraichage (globalement une surface végétale a besoin de 200l d’eau par m2 l’été et deux fois plus pour les fruits et légumes qui sont composés à 90% d’eau ).
Si tout le monde avait le bon sens de faire comme les agriculteurs, des réserves d’eau l’hiver (particuliers, villes, industriels, etc …) pour végétaliser en épargnant les nappes phréatiques l’été on ne parlerait jamais de sécheresse !