La prairie est le milieu agricole le plus riche en biodiversité et le plus naturel (pas de pesticide et peu de travail mécanique) pourtant on laisse « griller » tous les étés des millions d’hectares (1.1 millions d’hectares en nouvelle aquitaine) .
Chaque prairie reçoit annuellement plus d’eau que nécessaire à sa survie l’été, mais comme la répartition des pluies se dégradent ( à cause du réchauffement climatique) les périodes sèchent se rallongent et les prairies meurent.
il suffirait d’exploiter les ruissellements de surface avec des bassins collinaires et de pomper l’eau qui s’est infiltrée dans les nappes l’hiver, mais cette eau est exploitée massivement par les villes qui au lieu de la recycler dans les champs la rejette massivement dans la mer via les rivières. un simple retour de l’eau des villes dans les champs permettrait de résoudre tous les problèmes de sécheresse et donc de climat et donc de biodiversité : pas d’eau pas de vie sur terre !
D’ailleurs c’est déjà inscrit dans le code de l’environnement : les surfaces artificialisées (villes) doivent traiter et infiltrer tous les rejets pour ne pas perturber le cycle de rechargement des nappes phréatiques, et quand les infiltrations ne sont pas possibles l’eau doit être recyclée pour des usages non domestiques comme l’arrosage.